la tyrannie du stockage: le futur d’un invariant de l’histoire
Guerres et crises ramènent aujourd’hui au premier plan la problématique multimillénaire du stockage, qui pourrait bien réorienter notre futur de façon inattendue.
Guerres et crises ramènent aujourd’hui au premier plan la problématique multimillénaire du stockage, qui pourrait bien réorienter notre futur de façon inattendue.
En ces temps d’élections générales, de marches pour le climat et de sensibilités environnementales exacerbées, il n’a jamais été aussi important de “penser global”.
Pourquoi l’Histoire change-t-elle et que sera-t-elle demain? Comment notre présent sera-t-il perçu? Y-aura-t-il d’ailleurs toujours des historiens?
«L’évolution climatique et la croissance démographique pourraient entraîner une augmentation de 26% du risque d’inondation aux USA d’ici 2050»
De moins en moins capables de poser le problème, nous sommes logiquement de moins en moins aptes à le résoudre. Nous avons une excuse: c’est devenu impossible.
2040: l’ennui s’est imposé partout, dans l’entreprise comme dans la consommation. Peu de projets. Peu de mouvements. On ne vote plus. On ne manifeste plus.
Le faux contient l’erreur, mais ne se réduit pas à elle: un mensonge n’est pas une erreur. En outre, celle-ci n’est jamais un besoin alors que le faux peut en être un.
De la conquête initiale de la planète à l’Histoire contemporaine et jusqu’aux grands classiques de la science-fiction, un invariant: les migrations humaines.
Rien ne déterminera davantage le futur que les évolutions de la pensée dominante, ce qui engage à examiner celles qui pourraient la pousser vers l’erreur.
La fragmentation de la planète est-elle compatible avec “l’idée de planète”? Est-elle conciliable avec une vision cohérente du futur?
Vaccins, OGM, datas… portée par l’écologisme, la technophobie gagne du terrain. Mais elle n’est plus celle des débuts de la mécanisation ou celle d’Hiroshima.
Les risques d’électrocution n’ont pas provoqué une levée de boucliers contre la diffusion de l’électricité. Or, ce serait sans doute le cas aujourd’hui.
Inutile, élitiste, superficielle, exhibitionniste, archaïque, la culture générale demeure pourtant l’inamovible fondement de l’enseignement républicain.
Dans la prévision des comportements, le recueil des émotions amène à complexifier l’individu, alors que l’approche par les personnalités viserait à le simplifier.
Alors que les outils de suivi des émotions s’affinent se pose la question des perspectives qu’offre le recueil de ces nouvelles données personnelles.
Réduit à une simple réplique de son modèle, l’humain de synthèse aurait peu d’intérêt. Dans le cas contraire a-t-il vocation à être un maître ou un esclave?
Derrière l’alibi de la prévision, la futurologie se limite, dans les faits, à annoncer une domination à venir. Celle-ci se veut globale et sans recours.
Le “vrai”, quand on y croit, est supposé découler de l’objectivité, elle-même supposée “commencer” par une perception juste des faits et des données.
À quelles hypothèses globales nous mènent les 4 thèmes explorés par les billets précédents? Comment aborder le futur d’un support de pratiques aussi disparates?
Face aux menaces et dérives évoquées dans les billets précédents, l’offre de liens sociaux et de facilités de communication constitue la force de vie d’Internet