données personnelles (1): le recueil des émotions
Alors que les outils de suivi des émotions s’affinent se pose la question des perspectives qu’offre le recueil de ces nouvelles données personnelles.
Alors que les outils de suivi des émotions s’affinent se pose la question des perspectives qu’offre le recueil de ces nouvelles données personnelles.
Réduit à une simple réplique de son modèle, l’humain de synthèse aurait peu d’intérêt. Dans le cas contraire a-t-il vocation à être un maître ou un esclave?
Derrière l’alibi de la prévision, la futurologie se limite, dans les faits, à annoncer une domination à venir. Celle-ci se veut globale et sans recours.
Le “vrai”, quand on y croit, est supposé découler de l’objectivité, elle-même supposée “commencer” par une perception juste des faits et des données.
À quelles hypothèses globales nous mènent les 4 thèmes explorés par les billets précédents? Comment aborder le futur d’un support de pratiques aussi disparates?
Face aux menaces et dérives évoquées dans les billets précédents, l’offre de liens sociaux et de facilités de communication constitue la force de vie d’Internet
L’outil de connaissance et de lien social que reste encore Internet, en dépit d’une certaine dégradation, peut-il se muer en hydre multiforme et malveillante?
L’analyse de ce volet va demander une difficile prise de recul vis-à-vis des chiffres de l’économie de surveillance qui impressionnent, tout autant que les révélations d’Edward Snowden.
Entré dans l’âge adulte grâce au web et au courrier électronique il y a moins de vingt ans, Internet est encore très jeune.
C’est un présupposé d’intelligence qui permet de parler de progrès, de culture, d’éducation, de démocratie… et même de liberté, car par quoi se traduirait celle d’un imbécile?
Marchons pour le climat! C’est désormais la seule chose que nous puissions faire pour lui.
Inclusives, inclusifs. Cher.ère.s ami.e.s citoyen.ne.s français.e.s indigné.e.s par le joug masculin depuis les chasseur-sseresse.s-cueilleur.se.s antédiluvien.ne.s.
Si les problèmes se cuisinaient, la sagesse serait la gastronomie dans un monde dominé par la restauration rapide.
Le Covid-19 a posé la problématique du décompte comme allant bien au-delà des joutes d’intérêts partisans auxquelles nous avions pris l’habitude de la réduire.
Imaginez, une ville à sec…sans eau… du tout.
Jusqu’à quel point sommes-nous capables d’absorber du sensationnel, de l’exploit, de la performance, de l’inédit – vrai ou faux – réel ou virtuel – sans devenir massivement blasés?
à la recherche de l’économie circulaire (*) «Le cercle n’a ni commencement ni fin, ce qui en fait un symbole universel d’éternité, de perfection».
Il n’est plus question que de lui, surtout sur les sujets les plus essentiels: l’effet rebond est à la mode. Ce qui amène une première question: pourquoi?
Il n’y a plus de respect! Les incivilités se multiplient! On a même tagué mon image d’en-tête!… Ah les salauds!
Pourquoi préjuger d’un changement? Les psychotropes d’aujourd’hui ne le seront-ils plus demain?