un futur est né le 30 juin 1864
Au commencement, la nature était partout. Puis elle est devenue “ce qui était au-delà de la limite de la ville“. Et puis…
Au commencement, la nature était partout. Puis elle est devenue “ce qui était au-delà de la limite de la ville“. Et puis…
Peut-on résister aux robots en entreprise? En théorie c’est presque facile, en pratique, c’est peut-être impossible. Qu’est-ce qui rend la question aussi complexe?
L’audiovisuel immersif va progressivement s’imposer. Mais il faut prendre le temps d’analyser la consommation télévisuelle d’aujourd’hui et ses tendances pour comprendre comment. Cette évolution va affecter directement ou indirectement beaucoup d’autres domaines.
« L’addiction se rapporte autant à des conduites telles que le jeu compulsif, la dépendance au jeu vidéo ou à Internet, les conduites à risques ou la pratique d’exercices sportifs inadaptés entraînant un syndrome de surentraînement qu’à la dépendance à des produits comme l’alcool, le tabac ou les psychotropes… /… Des exemples de dépendances psychologiques très répandues sont la dépendance au travail, à l’activité physique ou intellectuelle, qui peut parfois aboutir au surmenage » (wikipedia)
La science, l’économie, le politique, les principaux courants de pensée susceptibles d’être déterminants pour notre futur, s’affrontent aujourd’hui autour de l’idée de risque. Risque ou contre-risque, ignorés, supposé ou avéré, idéologie sécuritaire, principe de précaution ou marche en avant: l’échiquier du futur.
Les recettes produites par la violation des interdits, en constante progression, se hissent aujourd’hui au niveau des premiers PIB mondiaux. Quelles logiques et quels mécanismes ont permis cette évolution? Comment en est-on arrivé là et quel futur nous promet cette tendance?
L’intelligence artificielle des robots ne leur permettra rien dans le futur qu’ils ne soient capables de faire dès aujourd’hui, hormis élargir leur rayon d’action à d’autres environnements. Ils auront bien sûr des capacités inaccessibles à l’humain (ils les ont déjà), mais ne seront jamais intelligents au vrai sens du terme… et pour de multiples raisons.
la NSA est en train de prouver que le Big data est effectivement une contre-utopie peu probable.
Google vient d’officialiser la création d’une division robotique, après avoir acquis sept entreprises du secteur, promettre d’en incorporer d’autres et mettre tout cela sous la houlette d’une de ses stars, Andy Rubin, le père d’Android. Tout indique donc que c’est du sérieux et que cela correspond à un authentique choix stratégique. Si nous supposons que Google est bien informé et richement doté en données de prévision, que peut-on en déduire?
L’effet Narcisse, sans doute à l’oeuvre dans la montée de l’extrême droite, semble appelé à un brillant avenir comme vecteur de communication… ou comment Internet nous fait redécouvrir l’Antiquité.
Le coworking nous promet, pour notre espace de travail, économie et convivialité. La référence à cette dernière valeur n’est-elle pas insolite de la part de propriétaires immobiliers?
La pensée de l’environnement est vieille d’au moins deux siècles. Elle a évolué selon un principe de métamorphose, par “empilement“ de différentes problématiques, le produit des nouvelles s’ajoutant à la mémoire des anciennes. C’est ainsi qu’elle nous apparaît aujourd’hui et c’est l’histoire de cette construction qui va sans doute définir l’avenir de cette pensée.
À quoi peut bien servir l’internet des objets? A-t-on vraiment besoin qu’ils communiquent ? Ce qu’ils ont à se dire, ou à nous dire, justifie-t-il de saturer notre espace en rayonnements de toutes sortes?
Une récente innovation médicale s’appuyant sur l’utilisation particulière d’un rayonnement ultraviolet dans un traitement antibiotique peut être prise comme exemple, voire comme métaphore, de ce que pourrait être notre futur technologique.
L’économie collaborative apparaît comme la seule voix discordante dans le concert actuel des contre-utopies. Est-ce une révolution possible ? Est-ce une chimère de plus ? Peut-elle tenir ses promesses ? De quelle nature sont les tendances dans lesquelles elle s’inscrit ?
Mise en accusation, par certains, au nom de la valorisation du travail collectif, vouée, pour d’autres, à une spectaculaire renaissance grâce aux nouvelles techniques de recueil de données, l’évaluation de la performance personnelle en entreprise pourrait être amenée à se reconstruire par un jeu d’interactions plus progressif et plus complexe.
L’arrogance monopolistique de Monsanto sur les OGM lui a coûté beaucoup d’argent. L’idée pourrait faire son chemin que le développement d’une innovation de rupture, spécialement dans les domaines sensibles, demande une préparation de type publicitaire. Le steak haché du Googleman Sergey Brin a, de ce point de vue, tout pour faire école.
Ce qui se présentera à nous comme élément de notre futur sera perçu, connu, évalué par une pensée qui ne sera plus celle d’aujourd’hui. Comment comprendrons-nous ? Comment choisirons-nous ? Comment adhérerons-nous et à quoi ? Cette réflexion peut-elle commencer autrement que par des questions ? En voici cinq.
Toujours trop intrusive pour qui la subit, jamais suffisante pour une bonne gestion de l’inattendu, la surveillance est au cœur des débats actuels face à tout ce qu’autorise et que va autoriser le numérique. Et si l’approche de son futur consistait seulement à répondre à cette simple question: pourquoi met-on des bracelets électroniques aux prisonniers ?
Ses acteurs sont les grandes sociétés multinationales de services informatiques comme IBM ou HP. Dans sa dimension de contre-utopie, le Big Data met des capacités prédictives hors-normes au service d’une utilisation dans le domaine du contrôle social. En filigrane, la prévision des délits à la manière du Minority Report de Philip K. Dick. Ce billet fait suite à «futur du big data: le préalable idéologique».
Techniquement parlant, c’est un mode de recueil et de traitement révolutionnaire de l’information.
Mais il est susceptible de concerner les domaines les plus sensibles, de l’intégrité de l’individu à sa vie privée et jusqu’à la prédiction de ses comportements. Concept de tous les possibles et de toutes les peurs, le Big Data est plus que tout autre sensible à l’idéologie.