pourquoi le futur n’est-il plus à la mode?
Une envie qui s’est diluée, une perte d’audience de l’innovation technologique, la métamorphose du “social”: trois grandes familles d’explications
Une envie qui s’est diluée, une perte d’audience de l’innovation technologique, la métamorphose du “social”: trois grandes familles d’explications
Le secteur de l’alimentaire est un monstre économique et écologique. S’y révèlent des mécanismes d’évolution qui vont s’appliquer à la plupart des domaines.
Serons-nous des transhumains? – la réponse est «OUI». Ce billet sur le transhumanisme pourrait s’arrêter là
La question n’est pas aussi simple qu’elle le parait, car aujourd’hui pas plus qu’hier, l’image de cet homme ne s’inscrit dans une pensée de futurologue
Quels sont les mécanismes par lesquels notre pensée du futur produit du sens? Peut-on expliquer par là certaines de ses insuffisances?
Rétro-futurologie. Nous sommes au début des années 80 et nous écoutons un futurologue “virtuel“ nous évoquer l’avenir du football: • L’intérêt pour le football ne va faire qu’augmenter (1) • Le budget des clubs va aller croissant (1) • Les … Lire la suite
Techniquement parlant, la justice est tout à fait robotisable. D’ailleurs, elle l’est déjà… pour certaines infractions routières. Mais pourquoi n’est-ce pas généralisé? Quoi de plus simple que de mettre dans la mémoire d’une machine l’ensemble des délits, l’ensemble des lois, … Lire la suite
La loi de Moore, souvent très librement interprétée, occupe une place centrale dans la futurologie d’aujourd’hui. Mais ne se pose-t-on pas davantage de mauvaises questions que de bonnes autour de cette loi? Et en premier lieu, pourquoi les futurologues l’aiment-ils autant?
Vouloir prévoir un futur posé implicitement ou explicitement comme imprévisible ne peut en toute logique que déboucher sur un raisonnement fautif. Rarement posée dans ces termes, cette incohérence fondamentale n’en existe pas moins sous différentes formes dans différentes démarches de futurologie.
Les biais cognitifs se définissent comme des erreurs de jugement à caractère systématique, largement partagé, et relevant de causes identifiées. Donc, à “biais cognitif“ devrait correspondre “erreur répertoriée“… donc “avérée“. Est-ce possible en futurologie où toute prédiction peut aussi bien s’assimiler à une erreur en cours qu’à une vérité en attente ?
De Big Brother à la dictature des robots, de la programmation génétique à l’apocalypse environnementale, les pronostics divergent. Mais une certitude émerge par delà ces différences:
Notre futur sera totalitaire ou ne sera pas (… ce qui, en l’occurrence, est une autre façon de l’être).