robotique & nanotechnologies: deux visions du robot du futur
Robotique & nanotechnologies: deux philosophies d’adaptation à des environnements variables. Laquelle va nous livrer le robot du futur?
Robotique & nanotechnologies: deux philosophies d’adaptation à des environnements variables. Laquelle va nous livrer le robot du futur?
Peut-on résister aux robots en entreprise? En théorie c’est presque facile, en pratique, c’est peut-être impossible. Qu’est-ce qui rend la question aussi complexe?
L’intelligence artificielle des robots ne leur permettra rien dans le futur qu’ils ne soient capables de faire dès aujourd’hui, hormis élargir leur rayon d’action à d’autres environnements. Ils auront bien sûr des capacités inaccessibles à l’humain (ils les ont déjà), mais ne seront jamais intelligents au vrai sens du terme… et pour de multiples raisons.
À quoi peut bien servir l’internet des objets? A-t-on vraiment besoin qu’ils communiquent ? Ce qu’ils ont à se dire, ou à nous dire, justifie-t-il de saturer notre espace en rayonnements de toutes sortes?
Une récente innovation médicale s’appuyant sur l’utilisation particulière d’un rayonnement ultraviolet dans un traitement antibiotique peut être prise comme exemple, voire comme métaphore, de ce que pourrait être notre futur technologique.
L’arrogance monopolistique de Monsanto sur les OGM lui a coûté beaucoup d’argent. L’idée pourrait faire son chemin que le développement d’une innovation de rupture, spécialement dans les domaines sensibles, demande une préparation de type publicitaire. Le steak haché du Googleman Sergey Brin a, de ce point de vue, tout pour faire école.
Alors que les nanotechnologies sont partout présentées comme l’Eldorado du futur, Bayer vient de fermer son usine de nanotubes de carbone trois ans seulement après l’avoir inaugurée.
Quels enseignements pour la pensée du futur?
Selon le New York Times, Lockheed Martin serait sur le point de commercialiser le premier ordinateur quantique opérationnel: une évolution potentiellement radicale pour le futur de nos sociétés.
Nous poserons l’année 1948, avec l’invention du transistor, comme point de départ d’une période durant laquelle la miniaturisation a été un compagnon de route de tous les instants, un producteur de valeur et de connotations positives pour la recherche technologique. Qu’en est-il aujourd’hui de cet argument de progrès? Voyons à partir de quelques exemples?