combien de temps faudra-t-il à la machine pour tuer le robot?
Aux sources d’une idéologie aux exigences paradoxales de robots toujours plus polyvalents et d’humains toujours plus spécialisés
Aux sources d’une idéologie aux exigences paradoxales de robots toujours plus polyvalents et d’humains toujours plus spécialisés
En démocratie, la domination s’obtient par la persuasion. Un futur démocratique serait donc lié au futur de “ l’ingénierie du consentement ”
La science à longtemps manqué cruellement de données pour valider ses hypothèses. Elle en est aujourd’hui submergée. Cela va-t-il produire le résultat attendu?
L’amélioration génétique fait très peur, pourtant le rejet par l’opinion est probablement beaucoup plus ambigu qu’il n’y parait.
L’ignorance peut-elle être l’objet d’un savoir? Peut-on mettre à jour les mécanismes par lesquelles l’ignorance est susceptible, non seulement de se maintenir, mais aussi de se construire, de se reconstruire, voire de se renforcer?
L’efficacité en matière d’espionnage peut s’évaluer sur la base de deux logiques: la dimension stratégique & la dimension idéologique. Où sommes-nous sur la carte? Qu’est ce que cela suppose? Qu’est ce que cela implique?
Nos croyances conditionneront ce qui, demain, nous apparaitra possible ou pas, souhaitable ou non, bon ou mauvais: quelques pistes… provisoires
Le recueil massif de données personnelles « non-structurées » peut être vu comme une rupture technologique potentielle, mais qui a probablement vocation à s’autodétruire… et peut-être même de deux manières. Les données et l’opinion « Données non structurées »: c’est sous ce terme … Lire la suite
Curieux paradoxe que ces données personnelles qui nous sont vendues comme le fondement d’un cauchemar à venir, par les firmes mêmes qui les collectionnent aujourd’hui. Google nous promet son Knowledge Vault (1). Facebook brandit comme une publicité ces … Lire la suite
En rapprochant les évolutions récentes dans différents secteurs de la recherche, on peut penser qu’un nouveau paradigme scientifique est en train de naitre autour de l’idée de
“l’intelligence du bruit“.
Le biomimétisme présente des avantages certains pour la recherche technologique. En faire une philosophie constitue, par contre, une dérive potentiellement dangereuse. Quelles formes peut prendre cette dérive, quelle est sa probabilité et à quoi peut-elle mener?
Au commencement, la nature était partout. Puis elle est devenue “ce qui était au-delà de la limite de la ville“. Et puis…
La pensée de l’environnement est vieille d’au moins deux siècles. Elle a évolué selon un principe de métamorphose, par “empilement“ de différentes problématiques, le produit des nouvelles s’ajoutant à la mémoire des anciennes. C’est ainsi qu’elle nous apparaît aujourd’hui et c’est l’histoire de cette construction qui va sans doute définir l’avenir de cette pensée.
Ce qui se présentera à nous comme élément de notre futur sera perçu, connu, évalué par une pensée qui ne sera plus celle d’aujourd’hui. Comment comprendrons-nous ? Comment choisirons-nous ? Comment adhérerons-nous et à quoi ? Cette réflexion peut-elle commencer autrement que par des questions ? En voici cinq.
Techniquement parlant, c’est un mode de recueil et de traitement révolutionnaire de l’information.
Mais il est susceptible de concerner les domaines les plus sensibles, de l’intégrité de l’individu à sa vie privée et jusqu’à la prédiction de ses comportements. Concept de tous les possibles et de toutes les peurs, le Big Data est plus que tout autre sensible à l’idéologie.
Une fois exprimées quelques réserves préalables vis-à-vis d’un point de vue émanant de hauts responsables de Google et de quelques a priori sous-tendus par leurs hypothèses, quels enseignements peut-on tirer du futur numérique que nous propose le dernier ouvrage d’Eric Schmidt et Jared Cohen «The new digital age».
La brume, très utilisée dans le domaine du fantastique pour générer la peur, s’installe dans la communication scientifique autour des robots. Aujourd’hui: le robot qui apprend à parler… pour mieux soigner la maladie de Parkinson (?)
Une star du football ne doit rien à sa naissance, ni à un réseau, ni à la chance. Seuls ses dons et son travail ont fait de lui ce qu’il est. Il devrait représenter l’archétype du self-made-man. Or, même la fortune d’un gagnant du loto apparaît plus légitime que la sienne.